Les Britanniques consomment du protoxyde d’azote plus que n’importe quel autre pays du monde. Devenu récemment la deuxième drogue la plus populaire du pays, les médias se sont emparés du sujet après quelques décès liés à ce produit, bien que ses dangers ont souvent été exagérés.La réponse du gouvernement a été d’inclure ce produit dans sa loi sur les substances psychoactives. Cette loi interdit désormais la vente de toute substance susceptible de modifier l’état mental du consommateur – excepté l’alcool, le tabac et le café. Aujourd’hui, la vente de protoxyde d’azote peut coûter jusqu’à 7 ans de prison.Matt Shea a enquêté sur les conséquences de l’interdiction de cette substance du jour au lendemain et tenté de comprendre comment les dealers continuaient à fournir aux noctambules britanniques leur précieux gaz.
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